Tron l'héritage

Sam Flynn, 27 ans, est le fils expert en technologie de Kevin Flynn. Cherchant à percer le mystère de la disparition de son père, il se retrouve aspiré dans ce même monde de programmes et de jeux mortels où vit son père depuis 25 ans. Avec la fidèle confidente de Kevin, père et fils s'engagent dans un voyage où la mort guette, à travers un cyber univers époustouflant visuellement, devenu plus avancé technologiquement et plus dangereux que jamais...

Voici le deuxieme volet sortie près de 20 ans après le premier, Le premier film a fait date dans l'histoire du cinéma de science fiction et de l'univers de la geakologie de manière général. Je n'ai malheureusement pas eu le courage d'en regarder plus de 15 min tant les images et le style sont obsolètes. Cependant j'ai fait mes devoirs j'ai lu deux trois trucs sur le sujet. Le premier volet a inspiré nombre de film de la génération 1990-2000 nottement matrix. C'est un film d'initié  qui n'a pas fait beaucoup d'entré et dont les interprétations sont visiblement multiples. 

L'idée de base est vraiment interessante c'est donc logique qu'on ai voulu en faire un nouveau avec les technologies actuelles et au niveau des images c'est réussi. Afin d'assurer une continuitée logique kevin flynn est joué par le même acteur Jeff bridges ( notre bien aimé big lebowski ) très charismatique en gourou créateur déchu zen boudhiste geako-marxiste. (ça ne veut rien dire, cool...). Je ne sais pas si c'est réussi puisque les critiques que j'ai lu disent toute que c'est quasiment un hérésie. Mais je ne suis pas dogmatique et en plus je n'ai vus le premier ni dans les temps ni en entier donc je m'en fou.

Les images du monde virtuels sont vraiment très propre soigné et tout et tout. Y à rien a dire c'est beau à voir. En même temps ça doit pas être les images virtuels les plus dur à faire puisque c'est très épuré.

Au niveau scénaristique on ne peut pas dire que ça soit incroyable. Le fils abandonné recherche sont père et le retrouve, celui ci à une super éxcuse pour se justifié ( ici "j'étais piégé dans un monde numérique parrallèle"), et il se ligue tout deux pour s'en sortir, blablabla.

Je crains que ce soit la que s'arrete l'interet de ce film. Il y a bien la vision du père sur le monde parfait qu'il souhaitait créer de l'être autogénéré par le système mais ce n'est pas très bien dévelopé et pour tout dire que je n'ai pas tout pigé en tout cas pas en profondeur.

Donc si vous souhaitez ou avez déjà vus ce film merci d'éclairer ma lanterne sur le dernier point. À voir quand on a le temps.