mercredi 8 février 2012

La vérité si je mens


Edouard Vuibert est au bout du rouleau. Victor Benzakem, entrepreneur prospère du quartier du Sentier, le prend sous son aile quand une bagarre l'oppose à deux joueurs de bonneteau. Le prenant pour un juif, il décide de l'embaucher comme manutentionnaire. Eddie laisse le quiproquo s'installer et fait son chemin dans une communauté chaleureuse jusqu'à séduire Sandra, la fille de son patron. Mais au cours de la préparation du mariage, Eddie se démasque involontairement. Il n'est pas juif ! 

À l'occasion de la sortie du troisième volet de la saga je me suis remis dans le premier. Et quel film, malgré de grosses faiblesses dans l'écriture du scénario, les dialogues et les situations sont tellement énorme que ça passe tout seul, de fou rire en fou rire. 
A gros renfort de réplique culte et malgré les années c'est toujours avec plaisir qu'on arpente le sentier au coter de richard anconina somme toute asser médiocre. 
On découvre un José Garcia complètement barré et vraiment drôle (ce qu'il n'a pas toujours été dans ses films), Gilbert Melki qui excelle tellement dans son rôle de milliardaire juif. 


Je pourrais en écrire des lignes entière, comme pour exprimer le plaisir de revoir Elie Kakou délicieux en mari cocu. Bref regarder le, ou re-regarder le ça ne s’arrête jamais, comme la cité de la peur, ou tout autre chef d’œuvre humoristique.


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