lundi 29 novembre 2010

L'auto satisfaction du réalisateur qui voulait faire un bon film

Le scénario est inspiré de l'oeuvre du même nom, publié par douglas Kennedy en 1999, c'est l'histoire la plus bannal du monde. Résumé: un homme qui ne ce réalise pas en tant qu'avocat plein aux as quitte tout pour vivre sa vie de photographe en europe de l'est. Ce pitch très simple est agrémenter d'un événement policier légérement tiré par les cheveux et hop ça vous fait un film. Donc le scénario ce partage en deux partit, celle à Paris "pré-accident" et celle au Montenegro post-accident.

Ma critique ne se porte ni sur le scénario ni sur le jeu d'acteur qui sont tout à fait acceptable, sans être prodigieux (Ennemi de Romain Duris éviter ce film c'est un one man show). Mais plutôt sur la façon dont le réalisteur a traité le sujet, a malmené le sujet.
On peut s'attarder (et le réalisateur la fait aussi, pour notre plus grand malheur) sur l'interêt des  plans intermtinables de coucher de soleil, de port industriel, ou de paysage montagneux. le fait est que c'est plan ausi esthétique soit il, n'appuis en rien la reflexion interrieur du personnage.

La première partie porte une grande lourdeur d'image, filmer le paris très bourgeois en action, n'interesse personne. Il aurait peut etre pu passer plus vite sur ce passage. Bref tout ça pour dire que deux heures après quelques "clichés" plus tard (le personnage est photographe) on aurait aimer le voir fait autrement.
Peut etre par quelqu'un d'autre.

Un coup de chapeau à Niels Arestrup acteur extraordinaire en plein bourre en ce moment. (un prophete le scaphandre et le papillon, elle s'appelait sarah...)

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