lundi 1 octobre 2012

The expendables I et II

 Alors les copains j'éspère que vous n'avez pas laisser vos burnes dans la boite à gant de la twingo de maman parce que la on part pour un voyage au coeur de ce que l'amérique à de plus beau : des brutes chargés à toutes les drogues inventé pré et post vietnam.

Je ne vous fait pas l'affront de vous "pitcher" les deux films tant il n'en est rien a dire. Stalone est un réalisateur fin, attentif aux sentiments et sensible à la finesse de la beauté du monde. Il dépeind les rapports humains comme personne. Pour exemple cette magnifique citations :
" - hé tes malades !! ta failli me tuer !!
- Pas de quoi."

Comment ne pas penser à woody allen ou à Tarantino tant leur instinc du dialogue les rapproches.



Plus sérieusement, je trouvais que réabilité tous les bourrins  de film d'action des années 80-90 était un labeur noble et honnête. Cela faisait bien sur écho à mon enfance bercé par l'illusion américaine qu'avoir des gros muscles une moto et un gros flingue c'était la vie ( le rebel, walker texas ranger,...).
En gros ces films aussi nanaristique soient ils raisonnent sirène hurlante en mon âme d'enfant. Comme quand on essayait de reproduire les cascades de bruce lee en sautant sur le canapé du salon. C'est de la merde mais j'aime bien.

Big up privé à Mickey Rourke que je venere en secret au fond de la penderie de ma chambre.

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